En visite à Londres, Vladimir Poutine s'est exprimé pour la première fois sur cette affaire, indiquant que les trois jeunes femmes du groupe ne devaient pas être jugées trop sévèrement. En février dernier elles avaient entonné une "prière punk" dans la principale cathédrale de Moscou, elles risquent sept ans de prison.
Les commentaires de Vladimir Poutine sur les procès en cours coïncident généralement avec l'énoncé du verdict des tribunaux russes. Sa dernière déclaration peut donc donner bon espoir aux trois femmes du groupe punk Pussy Riot, âgées de 22, 24 et 29 ans, jugées depuis lundi à Moscou.
En février, elles avaient entonné une "prière punk" intitulée "Marie mère de Dieu - chasse Poutine !" dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou, avant d'être chassées par les services de sécurité. La vidéo s'était ensuite largement répandue sur la toile.
Les trois jeunes femmes sont emprisonnées depuis cinq mois. Elles sont accusées d'actes de vandalisme motivé par la haine religieuse et risquent sept ans de prison.
"Il n'y a rien de bon dans ce qu'elles ont fait. Néanmoins, je ne pense pas qu'elles doivent être jugées trop sévèrement pour ce qu'elles ont fait", a déclaré jeudi le président russe, dans sa toute première réaction à cette affaire, lors de son séjour à Londres. S'adressant à la presse, Vladimir Poutine a indiqué qu'il espérait que les Pussy Riot "tireraient elles-mêmes les conclusions" de leurs actes, précisant que le tribunal devait tout de même avoir le dernier mot.
Il faut dire que l'affaire s'est propagée dans le monde entier, au point de gêner Vladimir Poutine au cours de sa première visite à Londres depuis 2005. David Cameron a évoqué l'affaire avec le président russe et des manifestations de rue se sont déroulées pendant les entretiens des deux hommes.
L'histoire de ces jeunes femmes a ému les stars de la musique à travers le monde, ainsi que l'opinion occidentale, se mobilisant sur des sites dédiés, Twitter ou Facebook.
Les commentaires de Vladimir Poutine sur les procès en cours coïncident généralement avec l'énoncé du verdict des tribunaux russes. Sa dernière déclaration peut donc donner bon espoir aux trois femmes du groupe punk Pussy Riot, âgées de 22, 24 et 29 ans, jugées depuis lundi à Moscou.
En février, elles avaient entonné une "prière punk" intitulée "Marie mère de Dieu - chasse Poutine !" dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou, avant d'être chassées par les services de sécurité. La vidéo s'était ensuite largement répandue sur la toile.
Les trois jeunes femmes sont emprisonnées depuis cinq mois. Elles sont accusées d'actes de vandalisme motivé par la haine religieuse et risquent sept ans de prison.
"Il n'y a rien de bon dans ce qu'elles ont fait. Néanmoins, je ne pense pas qu'elles doivent être jugées trop sévèrement pour ce qu'elles ont fait", a déclaré jeudi le président russe, dans sa toute première réaction à cette affaire, lors de son séjour à Londres. S'adressant à la presse, Vladimir Poutine a indiqué qu'il espérait que les Pussy Riot "tireraient elles-mêmes les conclusions" de leurs actes, précisant que le tribunal devait tout de même avoir le dernier mot.
Il faut dire que l'affaire s'est propagée dans le monde entier, au point de gêner Vladimir Poutine au cours de sa première visite à Londres depuis 2005. David Cameron a évoqué l'affaire avec le président russe et des manifestations de rue se sont déroulées pendant les entretiens des deux hommes.
L'histoire de ces jeunes femmes a ému les stars de la musique à travers le monde, ainsi que l'opinion occidentale, se mobilisant sur des sites dédiés, Twitter ou Facebook.
