samedi 24 décembre 2011

Le Vatican a trouvé sa valeur refuge


La charité chrétienne, c’est bien joli, mais ça ne nourrit pas son évêque. Les rosaires, en revanche, si. Surtout ceux fabriqué au fin fond de l’Albanie par des petites mains féminines payées sept centimes pièce, et qui seront revendus de quinze à vingt euros chez les marchands de souvenirs dépendant directement du Saint-Siège. 

La Repubblica (quotidien italien) a fait le calcul cela ne fait pas loin de trois cents fois la culbute…

Pour ce prémunir contre les retombées de la crise, le Vatican n’a même pas besoin d’acheter de l’or. Ses bondieuseries en toc, son sens des affaires divin et ses relations avec les mafias des Balkans suffisent.