En ce samedi 24 septembre 2011, quoi de neuf en ce monde ??? Zebulon 1er et son ancien sinistre de l'intérieur, Brice Hortefeux rattrapé par l'affaire Karachi . Les enquêteurs du volet financier disposent d’extraits d’une conversation téléphonique entre Thierry Gaubert et Brice Hortefeux lors de la garde a vue de l’ami thierry, tiens on a le droit a son téléphone portable en garde a vue maintenant ???? , le 14 septembre 2011, où l’ex-ministre de l’intérieur explique que sa femme, la princesse Hélène de Yougoslavie, "balance beaucoup", ce qu’elle continue a faire en confirmant que son mari, proche de Zebulon 1er, se rendait souvent en Suisse pendant la campagne présidentielle de 1995 afin de ramener de l'argent a se dernier.
Histoire de se remémorer ou connaitre cette affaire de Karachi , nous vous proposons un petit abécédaire de l’affaire où nous découvrions encore et encore que le pouvoir politique est corrompu jusqu'à l’os.
Quinze personnes, dont onze salariés français de la Direction des constructions navales (DCN) travaillant à la construction de sous-marins dans le cadre d'un contrat avec le Pakistan conclu en 1994, sont victimes d'un attentat à Karachi le 8 mai 2002, au Pakistan. La justice française ouvre une enquête. Elle est actuellement menée par le juge d'instruction Marc Trévidic. La piste islamiste a longtemps été privilégiée. L'enquête s'est ensuite dirigée vers l'hypothèse de représailles pakistanaises, après l'arrêt des versements de commissions versées sur la vente des sous-marins, décidé par Jacques Chirac après son élection en 1995.
Le volet financier de l'affaire Karachi tourne autour du financement occulte présumé de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, dont Zebulon 1er était le porte-parole. L'ancien Premier ministre de cohabitation de François Mitterrand (1993-1995) a été auditionné dans le cadre de la mission d'information parlementaire sur l'attentat de Karachi en 2010. L'enquête sur le financement a fait apparaître le versement de sommes importantes en espèce sur le compte de campagne du candidat. Pour expliquer la présence de ces fortes sommes, Edouard Balladur a indiqué, à plusieurs reprises, qu'elles provenaient de la vente de gadgets (T-shirt, etc.) durant les meetings...
L'ancien chef de cabinet et directeur de campagne d'Edouard Balladur a été mis en examen jeudi 22 septembre pour complicité d'abus de bien sociaux et laissé en liberté sous contrôle judiciaire. Il fait partie des très proches de Zebulon 1er. Il a notamment été le témoin de son mariage avec Carla Bruni en 2008. Son nom a été cité devant le juge Van Ruymbeke par plusieurs témoins selon lesquels une fois directeur de campagne de Balladur, il avait un coffre-fort dans son bureau pour y entreposer "les grosses sommes" provenant de possibles rétrocommissions versées dans le cadre des contrats d'armement.
Depuis 1999, il est directeur général de Groupe Arnault, holding de Bernard Arnault, le P-DG du groupe de luxe LVMH.
Jean-Marie Boivin est un personnage discret mais central dans cette affaire. Le mandataire de la société Heine puis de la société Eurolux, chargées de redistribuer l'argent des commissions, était l'homme clé des montages financiers liés aux contrats d'armement français. Il a été mis en examen dans un autre dossier. Il aurait obtenu 8 millions d'euros de l'Etat à l'issue d'un arbitrage rendu en janvier 2009.
Plus que le contrat d'armement passé avec le Pakistan en 1994, c'est le non-versement de juteuses commissions sur un contrat de vente de frégates à l'Arabie saoudite qui pourrait avoir influencé les commanditaires de l'attentat de Karachi en 2002, selon les députés de la mission d'information du parlement français. "Pour raisonner sur la problématique" d'un lien entre un arrêt de versements de commissions et l'attentat de Karachi en 2002, "il faut prendre en compte" à la fois le contrat de vente de sous-marins conclu avec le Pakistan en 1994 et la vente de frégates la même année à l'Arabie saoudite. Le contrat "Sawari 2", conclu en novembre 1994, portait sur la vente à Ryad de trois frégates La Fayette pour un montant d'environ 19 milliards de francs (près de 3 milliards d'euros). Le montant des commissions, légales jusqu'en 2000, s'élevait à 18% du montant du contrat, selon un responsable de la Direction des constructions navales (DCN). Un montant important de ces paiements n'a finalement pas été payé, Jacques Chirac ayant stoppé les versements après son élection en 1995. Le contrat de vente de sous-marins Agosta au Pakistan, passé en septembre 2004, s'élevait à environ 820 millions d'euros, avec des commissions équivalant à 10,25% du montant total et dont la plupart ont été versées.
La Direction des constructions navales (DCN) a remporté le contrat pour la construction des sous-marins du contrat Agosta conclu entre la France et le Pakistan pour un montant d'environ 830 millions d'euros. Les onze Français tués dans l'attentat de Karachi en 2002 travaillaient pour la DCN. Elle est devenue DCNS en 2007 après le rapprochement avec Thales qui détient désormais 24% du capital, contre 74% pour l'Etat.
Une enquête préliminaire a été ouverte sur les aspects financiers découverts dans le cadre de l'enquête antiterroriste. Cette enquête a été diligentée en février par le parquet de Paris après une plainte notamment pour corruption et entrave à la justice déposée en décembre par les familles de victimes de l'attentat. Ces familles ont déposé en juin une nouvelle plainte, avec constitution de partie civile, pour obtenir la nomination d'un juge d'instruction, indépendant du pouvoir exécutif. Le parquet a requis l'ouverture d'une information judiciaire sur des soupçons d'entrave à la justice et de faux témoignages mais a exclu que le magistrat enquête sur d'éventuelles rétrocommissions. Le juge d'instruction Renaud Van Ruymbeke, désigné pour mener ces investigations, n'est pas de cet avis et a décidé d'enquêter également sur de possibles rétrocommissions.
Le juge vient ainsi de mettre en examen deux proches de l'Elysée, Nicolas Bazire et Thierry Gaubert, respectivement ex-directeur de cabinet et ex-directeur de campagne d'Edouard Balladur en 1995, et ex-conseiller du président. Il enquête sur l'éventualité d'un financement illégal de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, via des commissions liées à des contrats d'armement.
Thierry Gaubert, mis en examen par le juge Van Ruymbeke le 22 septembre dans le volet financier de l'affaire, fait partie des conseiller de l'ombre de Zebulon 1er. Il suit notamment comme chargé de mission, Zebulon 1er, entré au gouvernement de cohabitation d'Edouard Balladur, au ministère du Budget. En 1994, il est chef adjoint de cabinet, chargé de la communication, lors de la signature des contrats d'armement avec le Pakistan (Agosta) et avec l'Arabie saoudite (Sawari). Les juges s'intéressent notamment aux liens éventuels de Thierry Gaubert et Nicolas Bazire, ex-directeur de cabinet et de campagne d'Edouard Balladur, avec l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine, présenté comme intermédiaire dans ces deux contrats d'armement. Selon un témoignage révélé par Mediapart et Le Nouvel Observateur, la princesse Hélène de Yougoslavie, qui est séparée de Thierry Gaubert, a expliqué aux enquêteurs que son ex-mari avait accompagné Ziad Takieddine en Suisse pour aller y chercher des valises "volumineuses de billets" durant la période 1994-95. Et, selon elle, l'homme qui récupérait les "mallettes" en France était Nicolas Bazire.
Responsable des relations publiques au sein du groupe BPCE, Thierry Gaubert est également administrateur de la Banque de La Réunion et d'Icade EMPG, et membre du conseil de surveillance de Groupe Perexia.
- G comme... Guerre des chefs
Chirac contre Balladur en 1995, Villepin contre Zebulon 1er en 2010... L’affaire est devenue une arme de destruction massive dans la guerre qui a opposé Edouard Balladur et Jacques Chirac au moment où les deux candidats RPR s'affrontent pour la présidentielle. Dès son arrivée à l'Elysée, Jacques Chirac ordonne une révision de ces contrats par souci de "moralisation de la vie publique", selon Dominique de Villepin. Le ministre de la Défense d'alors, Charles Millon, a supervisé des "vérifications" menées par la DGSE qui ont fait naître chez lui "l'intime conviction" de l'existence de faits de corruption (rétrocommissions) vers des décideurs français. Des membres du cabinet de François Léotard, l'ancien ministre de la Défense ont alors été placés sur écoutes mais celles-ci n'ont "rien" donné, selon Charles Millon. La guerre fratricide entre Zebulon 1er et Dominique de Villepin est quant à elle relancée par le dossier, après l'affaire Clearstream. Dominique de Villepin a confirmé l'existence de "très forts soupçons de rétrocommissions". L'Elysée a dénoncé "la démarche entreprise par ceux qui n'ont d'autre préoccupation que d'impliquer le chef de l'Etat, par une succession d'insinuations".
Heine SA est une société "offshore", basée au Luxembourg, par laquelle transitaient des commissions sur des contrats d'armements. Elle a été créée en 1994 avec l'aval de Zebulon 1er alors ministre du Budget, et est utilisée par la branche internationale de la Direction des constructions navales (DCNI) pour verser les commissions, légales jusqu'en 2000, aux intermédiaires.
- I comme... Intermédiaires
Dans le rapport de la mission parlementaire sur les attentats de Karachi, les députés jugent "plausible" que l'attentat ait pu "avoir été commandité par des intermédiaires mécontents de ne pas avoir touché de FCE (commissions, ndlr)".
L'actuel ministre de la Défense, Alain Juppé, a déclaré que son ministère ne s'opposerait pas à une déclassification de documents réclamés par les juges, dès lors que la commission sur le secret défense aurait émis un avis favorable. Cible des familles des victimes de l'attentat, qui demandent son audition comme témoin, Alain Juppé, s'est par ailleurs déclaré prêt, "comme tout citoyen", à répondre à une éventuelle convocation du juge. Sur le fond du dossier, il a répété qu'il n'avait "jamais" entendu parler de "rétrocommissions" liées à des ventes d'armes au Pakistan lorsqu'il était Premier ministre de 1995 à 1997.
La ville du sud du Pakistan est considérée comme la capitale économique et financière du pays. Le 8 mai 2002, quinze personnes dont onze Français, employés des arsenaux de Cherbourg, sont tués lors d'un attentat contre le bus de la marine pakistanaise mis à la disposition de la DCN devant l'hôtel Sheraton. Selon le contrat Agosta signé en 1994, sur la construction des trois navires, le premier était entièrement conçu à Cherbourg, le deuxième juste assemblé à Karachi et le troisième entièrement construit dans le port pakistanais.
François Léotard est ministre de la Défense dans le gouvernement Balladur de 1993 et 1995. A ce titre, il a la haute main sur les marchés d'armement. Il en confie le suivi à un de ses fidèles, Renaud Donnedieu de Vabres. Il supervise les trois contrats Agosta (sous-marins au Pakistan), Sawari II (frégates en Arabie Saoudite) et "Bravo" (frégates à Taïwan). Dans leur livre d'enquête "Le Contrat" (Stock, 2010), les journalistes de Médiapart Fabrice Lhomme et Fabrice Arfi évoquent un témoin capital pour l'enquête : le contrôleur général Porchier qui, dans un rapport remis en 1999 sur le dossier Agosta, remonte jusqu'à l'entourage de François Léotard. Devant les députés de la mission parlementaire en 2009, l'ancien ministre aurait indiqué: "Soit c'est Al-Qaïda, mais cela me paraît peu probable, compte tenu de la nature des explosifs utilisés, soit c'est une vengeance de personnes n'ayant pas touché leur part de commissions", selon le PV de son audition, publié par Mediapart.
Olivier Morice est l'avocat de familles de victimes depuis fin 2008. Il relance l'enquête en frappant fort. Il dépose une première plainte auprès du parquet en 2009, visant la campagne d'Edouard Balladur. Il a également obtenu la nomination d'un juge d'instruction pour enquêter sur le volet financier de l'affaire. Il n'hésite pas depuis plusieurs mois à clamer haut et fort que Zebulon 1er est "au coeur de la corruption", le président de la République le qualifiant de son côté d'"avocat excité".
Nautilus est le nom donné à une série de rapports anonymes réalisés par la DCN sur les causes de l'attentat de Karachi. Le premier est daté du 13 mai 2002, soit cinq jours à peine après l'attentat, et le sixième et dernier du 12 novembre 2002. Il s'agit pour la DCN de répondre aux doutes quant aux informations qu'elle recevait des services officiels. L'auteur du premier rapport ne compte pas sur les résultats des investigations menées par les services pakistanais. Le troisième rapport tire les premières conclusions sur l'attentat qui ne vont pas dans le sens des thèses officiels d'alors, à savoir Al-Qaïda. Il évoque des complicités au sein de l'armée et de l'ISI, les services de renseignements pakistanais.
- O comme... "On nous appelle les Karachi"
Le livre "On nous appelle les Karachi" (éditions Fleuve noir) est paru le 10 novembre. Il est signé par deux filles de victimes de l'attentat, Magali Drouet et Sandrine Leclerc. "Ce livre est le récit des événements que nous vivons depuis maintenant plus de huit ans, lorsque nos pères ont perdu la vie dans l'attentat de Karachi, en 2002". "C'est l'histoire de nos vies brisées", par la raison d'Etat, le secret défense, les trahisons, les manipulations...
- P comme... présidentielle
La justice soupçonne qu'une partie des commissions versées dans le cadre de ces contrats soit revenue en France - via des rétrocommissions - pour financer la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, dont Zebulon 1er était le porte-parole, en 1995. Edouard Balladur n'ayant pu mettre la main sur la machine électorale du RPR, il se serait tourné vers les contrats d'armement pour financer sa campagne. C'est notamment ce que cherche à vérifier le juge Van Ruymbeke avec la mise en examen du chef de cabinet d'Edouard Balladur lorsqu'il occupait Matignon.
Après l'attentat de Karachi en 2002, la piste d'al-Qaïda est longtemps privilégiée. L'attentat a lieu huit mois après ceux du 11 septembre qui ont marqué les esprits et placé le réseau d'Oussama Ben Laden au cœur du terrorisme international. Les députés de la mission d'information sur l'attentat de Karachi ont jugé "plausible" la piste islamiste. Ce n'est que depuis 2009 que la justice explore la piste de rétorsions pakistanaises à l'arrêt du versement de commissions à des intermédiaires.
- R comme... Rétrocommissions
Les rétrocommissions sont un dérivé des commissions qui ont commencé à se développer dans les années 70, notamment grâce aux pétrodollars. Des intermédiaires sont ainsi payés en pourcentage sur les contrats qui sont signés entre les pays vendeurs et les pays acheteurs. Le circuit de l'argent des commissions devient plus complexe avec l'apparition des rétrocommissions qui permettent d'arroser dans les pays vendeurs avec une partie de l'argent reçu par les intermédiaires. Les versements de commissions, légales jusqu'en 2000, ont été stoppés par Jacques Chirac en raison de soupçons de rétrocommissions, qui sont, elles, illégales.
- S comme... Sarkozy alias Zebulon 1er
L'étau se resserre davantage sur Zebulon 1er, qui a été porte-parole du candidat Balladur en 1995 et son ministre du Budget de 1993 à 1995. L'Elysée a démenti le 22 septembre tout lien entre Zebulon 1er et le financement de la campagne de son ancien mentor. Il est "totalement étranger" à cette affaire, "d'autant plus qu'à l'époque où il était ministre du Budget, il avait manifesté son hostilité à ce contrat comme cela apparaît dans les pièces de la procédure", a précisé la présidence de la République. Un document chronologique, non daté ni signé, saisi par la police à la Direction des constructions navales (DCN), évoque les circonstances de la création de la société Heine, mentionnant l'aval du directeur du cabinet du Premier ministre et celui du ministre du Budget, respectivement Nicolas Bazire et Zebulon 1er.
La Sofresa, Société française d'exportation de systèmes avancés, a été créée tout spécialement en 1974 pour négocier les contrats d'Etat à Etat avec le ministère saoudien de la Défense. Son ancien président, Michel Mazens, témoin clé dans l'affaire, a été chargé en 1995 d'interrompre le versement de commissions sur le contrat Sawari II de vente de frégates à l'Arabie Saoudite.
Ziad Takieddine, homme d'affaires franco-libanais, est le personnage clé de l'enquête sur le volet financier. Il doit sa fortune aux contrats d'armements. Le 14 septembre, il a été mis en examen pour abus de biens sociaux dans le volet financier de l'affaire, soupçonné de malversations financières dans les deux contrats. Après avoir longtemps travaillé dans la publicité chez Young and Rubicam, Ziad Takieddine dirige dans les années 80 la station de montagne Isola 2000 et rencontre, lors d'une inauguration de télésiège, François Léotard, député du Var qui deviendra ministre de la Défense d'Edouard Balladur en 1993. Son nom apparaît dans le dossier Sawari II et Agosta, comme intermédiaire. Selon Mediapart, il aurait reçu 91 millions d'euros de commissions sur le contrat de frégates.
Le juge Marc Trévidic mène l'enquête depuis 2007 sur l'attentat de Karachi. Ce spécialiste du terrorisme islamiste est notamment passé par le parquet antiterroriste et le palais de justice de Nanterre. C'est lui qui, avec Yves Jannier, juge cosaisi dans cette affaire, a réorienté en 2009 l'enquête qui avait longtemps privilégié la piste Al-Qaïda, vers un contentieux franco-pakistanais autour d'un contrat de ventes de sous-marins en 1994.
Le juge Renaud Van Ruymbeke est chargé depuis octobre 2010 d'une enquête, après une plainte des familles des victimes, pour "entrave à la justice" et "faux témoignage" en marge de l'attentat de Karachi en 2002. Il souhaite également enquêter sur les soupçons de corruption de dirigeants français et cherche à savoir si des commissions en marge d'un contrat d'armement avec le Pakistan en 1994 ont pu alimenter la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, dont Zebulon 1er était le porte-parole.
- X comme... Plainte contre X
Ziad Takieddine, présenté comme un intermédiaire dans le contrat de vente de sous-marins au Pakistan en 1994, a déposé une série de plaintes en mai 2010, dont une contre X, visant plusieurs responsables de la Direction des constructions navales (DCN) qui, lors de leur témoignage devant des juges d'instruction, l'ont présenté comme un intermédiaire intervenu dans le contrat Agosta, ce qu'il dément.
Asif Ali Zardari, veuf de Benazir Bhutto, l'ancien Premier ministre, est depuis septembre 2008 président du Pakistan. Longtemps surnommé "M. 10%", Zardari symbolise la corruption sous les gouvernements de son épouse dans les années 1990. Le juge Trévidic a demandé la communication en janvier 2010 des enquêtes suisse et britannique qui vise le président pakistanais pour ses malversations.
Refermons vite ce coffre puant de nos politiques qui sent la corruption et la mort d’innocent tous cela pour récupérer de l’argent maudit pour ses élections et souvenons-nous de la phrase de Louise Michel (1830-1905) "C'est que le pouvoir est maudit et c'est pour cela que je suis anarchiste".
Voila encore un jour en ce beau monde….allez allez circulez il y a rien à voir !!!!!