Mardi,
une mosquée située à Toul avait été profanée. Des inscriptions racistes, des
croix gammées et des abats de porc avaient été découverts par des fidèles.
Aujourd’hui, on vient d’apprendre que trois hommes issus du mouvement « Bonehead
» ont été mis en examen, jeudi. Agés de 19 à 21 ans, ils sont poursuivis pour «
dégradation de lieu de culte », « dégradation à connotation raciste », « association
de malfaiteurs » et « provocation à la haine raciale ». Selon le procureur de Nancy, Raymond Morey,
les profanateurs présumés ont expliqué être « attirés » par les milieux
d’extrême-droite.